Origine du mot 'Karaté'


Comme les paysans étaient constamment agressés, ceux-ci ont commencé à développer des méthodes de combat à "mains nues" et quelques techniques de self défense. Cette méthode de combat a été nommée "Karaté" (à cause de son origine chinoise).
À cette époque, Karaté s'écrivait en Kanji (les caractères chinois) et signifiait "la main chinoise".

Le fondateur du Karaté moderne, Maître Gichin Funakoshi (décédé en 1957 à l'âge de 88 ans) transforma ces Kanji en "main vide". Il ajouta aussi le caractère "Do" (le chemin, la voie) à la fin du mot Karaté. Pour ce grand Maître, le Karaté-Do représentait bien sûr un art martial mais aussi une voie qui devait conduire au développement de son propre caractère et de sa propre personnalité.


Les origines de l'Académie Blancke


Dans les années '60, Maître Maurice Blancke a ramené le karaté en Belgique . Alors qu'il etait en tournée musicale en France, il a fait connaissance de cet art martial et a été initié au karaté par les plus grands de l'époque. Il en a fait son quotidien. Il n'existait que 3 professeurs en Belgique dans ces années là, ils se sont rassemblés et ont commencé à donner cours à Forest National.

Étant donné que celà fut un succès, Maurice Blancke qui, en 1970, avait construit à Molenbeek un studio d'enregistrement pour son orchestre 'Burt Blanca & les King Creole's', en a fait un 'Dojo' pendant les heures creuses.

En 1972 il continua à agrandir et commença à enseigner à Strombeek-Bever. En 1978, il fut approché pour commencer une salle de karaté a Waremme avec comme membre d'honneur M. Edmond Leburton, ministre d'État. En 1987, il se dirigea vers Uccle pour continuer l'expansion de son art et, en 1990, il commença à enseigner à la Commission Européenne. Il a acquis le grade de 10e Dan, un des plus hauts grades. Décédé en 2012 à l'âge de 81 ans, Monsieur Maurice Blancke est l'un des plus grands pionniers du karaté en Belgique.

Son fils Gunther Blancke (4e Dan), qui a repris le flambeau de l’Academie Blancke, a débuté le karaté à l'âge de 4 ans. Il suivait son papa et a dédié sa vie au karaté. Il a remporté de nombreux championnats internationaux. Son père qui voyait plus loin déjà dans les années '80, a envoyé Gunther étendre ses connaissances en Arts Martiaux, en Jiu-Jutsu, Kobudo, Boxe, Kick-Boxing...

Grâce à tiytes ses connaissances, il peut être plus complet dans son enseignement, et peut dispenser des cours plus personnalisés. Il a également passé plus de 10 ans à assurer la sécurité dans des discothèques et protection rapprochée pour acquérir dans la vie de tout les jours les notions de defense de soi. Après son grand succès ici en Belgique, il a été invité aux USA pour donner cour en Floride, Atlanta et South Carolina.

Il est assisté par sa soeur Heidi Blancke et son petit cousin Silvio La Ferrara qui amènent leur signature aux cours, avec beaucoup d'autres qui ont passé plus de 20 années dans l'Académie.

Venez nous voir !!!! Ouss !!!

Les origines du club



Maurice Blancke




Anatomie



1. Le corps humain est composé de nombreux points vitaux -appelés Kyusho- sur lesquels une attaque précise et puissante provoque un traumatisme pouvant aller jusqu'à la mort. Ce sont des points particulièrement vulnérables et généralement situés sur une ligne médiane du corps. Tous ne sont pas identiquement sensibles et l'effet produit dépend de la qualité de l'attaque.

2. Pour le karatéka, leur connaissance permet d'identifier les cibles à viser sur l'adversaire, mais aussi de connaître ses propres points faibles à protéger en priorité. Ils sont souvent regroupés par zone.

3. On considère qu'une attaque franche portée sur l'une d'elles provoque une onde de choc qui se propage aux points vitaux les plus proches. On distingue les zones :

- jodan (niveau haut) : visage, cou, nuque.
- chudan (niveau moyen) : poitrine, ventre, dos, reins, côtes.
- gedan (niveau bas) : bas-ventre, jambes.

En compétition, la précision des coups étant parfois difficile, le combattant vise plus une de ces zones qu'un point précis. La zone "gedan" est interdite en compétition.

Outre les coups interdits, la pratique actuelle du karaté, non violente et fondée sur le respect de l'adversaire, impose la plus grande prudence.



Anatomie Karate